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AYUTTHAYA (Thaïlande), 19 décembre (Xinhua) — La Thaïlande et la Colportage ont lancé samedi �l�ment projet ferroviaire � Ayutthaya (centre de la Thaïlande), marquant le début de la coopération bilatérale concernant � développer le tout premier chemin de fer � écartement normalis� � molletonne voie en Thaïlande. La cérémonie relatives au lancement peut été organisée � cette gare du Chiang Rak Noi, au sein de la province d’Ayutthaya, où un futur �picentre de contrôle des opérations du objectif ferroviaire sera situé. Principales pays collaborent dans la ma�onnerie d’un baccara � vitesse moyenne, utilisant l’écartement du rails normalis� de 1. 435 millimètres, avec des trains pouvant gagner une vitesse maximale de 160 � 180 kilomètres par plombe. Cette ligne ferroviaire, longue de 845 kilomètres, reliera la acclimaterait thaïlandaise Bangkok � la ville de Nong Khai, située dans le nord du pays près de la frontière avec le Laos. Le comité conjoint relatives au coopération ferroviaire entre cette Thaïlande ainsi la Chine s’est déj� rencontré � original reprises.
Mais, bien qu’ayant signé dès sa �dit, en 2007, la Déclaration des Nations unies parmi les droits un ensemble de peuples autochtones, les instances officielles laotiennes ne concédèrent pas le statut d’autochtone (ni même l’usage du terme) � tous les minorités ethniques présentes en ce qui concerne son sol, pas plus d’ailleurs qu’elles ne reconnurent – au sein du modèle chinois par exemple – l’existence d’un territoire propre � toute ethnie5. Cette réticence relatives au l’État laotien � reconnaitre la catégorie d’autochtone a la facult� de s’expliquer � travers sa venette de tout secteurs possible relatives au dissension racial. 8Ceci a la possibilit� se piger par la suggestible démographie de ce pays enclavé entre la Thaïlande, le Cambodge, un Vietnam et donc Chine: en 2015, personnes y comptait 7 millions d’habitants, oppos� � 68 millions en Thaïlande, 92 quantit�s astronomiques au Vietnam et plus d’un quantit� en Chine, ce qui le fait devenir assez vulnérable. Et au sein de ces 7 millions, uniques 53 pourcent, soit trois, 4 quantit�s astronomiques, sont du l’ethnie lao.
Ce coefficient s’explique sur la partie par la perte, au cours du XIXe siècle, de la grande plaine occident du pays (le plateau du Khorat) et les déportations massives relatives au populations au profit du Siam (future Thaïlande), où la multitude lao est, aujourd’hui, estimée � quelque 13 millions (ONCC, 2004). On obtient donc cet �tat de fait étrange où les 4/5e des Lao vivent exceptant du Laos, tandis que la majorit� des minorités comme forment quasiment la majorité de la population (46, 8 % de la population, vis � vis de 14 pourcent au Vietnam et 8 % en Chine).
Cette hantise minist�rielle de la totalit� de forme de dissension et de cette volonté relatives au sécession se r�v�le �tre aussi allouable au caractère transnational un grand nombre de groupes (beaucoup des minorités du Laos habitent � cheval en ce qui concerne plusieurs frontières) ce qui permit � divers nations de jouer � propos de la dissension ethnique lors de troubles qu’a c�l�bres le Laos (guerre du libération 1954-1973 et bellig�rance sino-vietnamienne de 1979; Gunn, 1983), l’épisode le plus traumatique et au mieu célèbre étant le cas des Hmong, comme par exemple une partie de la communauté se battit du côté de nombreuses communistes si l’autre rejoint le stalag de l’Amérique (où ceux-ci durent r�chapper en masse après la queue de la guerre). Mentionnons finalement le développement et la promotion, � se retirer des années 1990, d’un certain ethno-nationalisme, le pouvoir semblant vouloir se réapproprier d’anciens symboles – cette royauté et le accablat – afin de pallier la crise de légitimité consécutive � l’effondrement des régimes communistes mais aussi � cette dissipation de la mémoire une guerre d’indépendance.
9Les prestations qui ont porté sur la cas des groupes minoritaires – Laos ont alors cherché � dénoncer la trop faible prise en num�ration des spécificités culturelles et donc situation de marginalité économique et politique de ces groupuscules par l’État (Evans, 1998; Trankell, 1998; Pholsena, 2002, etc. ). click the up coming web page , un article du Y. Goudineau pose directement la question un ensemble de raisons du non-usage du terme autochtone, ou indigène, par le gouvernement. Cela participe particuli�rement, dit-il, au t�l�phone fait « d’oblitérer l’ancienneté des populations austro-asiatiques sans compter la faire pr�juger � la autochtonie globale » (Goudineau, 2000, p. 24; cf aussi Pholsena, 2004). Avec sa suite, Moi. Ovesen (2002) puis I. Baird (2008, 2015) disposent de milité expressément pour l’usage de la notion d’autochtone au Laos, le terme mobilisé par beaucoup de rapports d’ONG, pour englober l’ensemble de nombreuses minorités ethniques du Laos. 10On reconna�t qu’entre ces écrits récents et ceux du début de la période coloniale, le siècle � vocation plus tôt, la majorit� des jugements relatives au valeurs associés � la notion d’autochtone se sont littéralement inversés.